Le nageur Alain Bernard et le patineur Philippe Candeloro, qui participaient aussi au programme télévisé Dropped se sont confiés à France 2 et à l’AFP mercredi soir.

Pour Candeloro et Bernard, ce drame est une profonde injustice


Tous deux très vite arrivés sur les lieux du drame lundi, Alain Bernard évoque «un sentiment d’impuissance et d’incompréhension».

Des impressions partagées par le patineur: «On n'avait pas d'eau, pas d'extincteur. C'était au milieu de broussailles. Tout est allé très vite. Nos amis, surtout ceux qui avaient les yeux bandés, ils n'ont pas pu souffrir. On espérait trouver des survivants mais c'est pas ce qu'on a trouvé», déclare-t-il à l’AFP. «On se rend compte qu’on aurait pu y passer», ajoute Philippe Candeloro sur France 2: «Quand je suis parti dans cette aventure, j’avais plus peur d’être piqué par un serpent que de tomber d’un hélicoptère», poursuit-il.






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